Une gestion des non-conformités “collaborative”

Quelles sont vos principales missions chez Florette ?

Chez Florette France GMS, nous sommes répartis sur 5 sites de production plus un siège social à Caluire (69). Depuis 2013, je suis responsable Qualité Achats, rattachée au service Direction Qualité. Ma mission principale est de gérer l’ensemble des fournisseurs de matières premières et des fournisseurs de sous-traitance. Je m’occupe de l’élaboration des cahiers des charges ou des spécifications, du suivi des non conformités, du suivi des plans de contrôles, planning d’audit. En parallèle de cette mission je suis référente sur l’ensemble des systèmes d’information du service Qualité central et des sites et donc de l’ERP, de l’intranet et du logiciel BlueKanGo.

Qu’est-ce qui vous a amené à vous équiper de BlueKanGo ?

En 2013, Florette a racheté une société. Nous sommes passés de 3 à 5 sites de production. Nous avons eu besoin d’harmoniser nos pratiques avec en priorité numéro 1, le suivi des non-conformités. Pendant 2 années, on s’est arrangé avec des outils bureautiques classiques. C’était devenu complexe. L’idée était donc de trouver une solution commune à tous les sites, pilotée par la direction qualité et plus ludique et intuitive qu’un fichier partagé. La décision a été prise de commencer avec BlueKanGo dès 2014, pour une mise en place effective au 1er janvier 2015. Un outil à potentiel, bien “designé” pour l’utilisateur.

Quels sont les principaux avantages ?

La possibilité de donner accès à un maximum de personnes et de pouvoir renouveler les accès facilement à la plateforme est essentiel. Avant BlueKanGo, on était encore sur un mode de fonctionnement hypercentralisé avec les services informatiques. Aujourd’hui, je suis administrateur. Nous avons beaucoup plus de souplesse et d’autonomie. De plus, les accès sont nominatifs. Cela permet d’identifier de suite la personne concernée et de revenir directement vers elle. Étant sur des sites distants, l’avantage est de travailler directement sur la même plateforme y compris avec le service consommateur qui est un prestataire. Par exemple, nous n’avons plus à retranscrire les non conformités dans une base de données Excel. C’est forcément un gain de temps, en termes de représentativité des résultats, de consultations, de reporting…ce n’est que mieux.